Plantes dans la maison
Tailler les plantes
L’une des activités les plus importantes à réaliser avec les plantes est leur entretien continu, pour s’assurer qu’elles restent toujours en pleine forme à la fois d’un point de vue esthétique mais surtout de celui de la productivité : après tout, avec tout l’amour que nous pouvons » cultiver » (Excusez le jeu de mots) pour les plantes, il est clair que ce que nous en tirons, c’est la satisfaction profonde de les voir se développer grâce à notre attention, et ce n’est pas rien. Pour cette raison, parmi les nombreuses opérations liées au jardinage, nous nous concentrons dans cet article sur une très importante pour le développement complet et luxuriant des espèces végétales : la taille. Cette opération peut être définie comme l’arrangement de la plante réalisé par l’élimination effective de ses parties qui se sont exagérées dans la croissance ou qui, pour une raison quelconque, sont tombées malades. Une coupe décisive, avec une coupe nette et sans bavures (on verra, très nocives car elles sont comme une autoroute pour les maladies), peut permettre à la plante d’avoir une nouvelle vie. Après tout, la taille est également effectuée pour concentrer le pouvoir de croissance dans certaines zones de la plante, en éliminant d’autres ; c’est notamment le cas pour les plantes fruitières : les branches non fructifères sont éliminées (les yeux d’experts les reconnaissent) afin qu’elles n’absorbent aucune énergie et ressources, et que tout soit concentré pour les autres zones. très nocifs car ils sont comme une autoroute pour la maladie), peuvent permettre à la plante d’avoir une nouvelle vie. Après tout, la taille est également effectuée pour concentrer le pouvoir de croissance dans certaines zones de la plante, en éliminant d’autres ; c’est notamment le cas pour les plantes fruitières : les branches non fructifères sont éliminées (les yeux d’experts les reconnaissent) afin qu’elles n’absorbent aucune énergie et ressources, et que tout soit concentré pour les autres zones. très nocifs car ils sont comme une autoroute pour les maladies), peuvent permettre à la plante d’avoir une nouvelle vie. Après tout, la taille est également effectuée pour concentrer le pouvoir de croissance dans certaines zones de la plante, en éliminant d’autres ; c’est notamment le cas pour les plantes fruitières : les branches non fructifères sont éliminées (les yeux d’experts les reconnaissent) afin qu’elles n’absorbent aucune énergie et ressources, et que tout soit concentré pour les autres zones.
Tailler le bonsaï ficus
Une plante d’intérieur classique qui a beaucoup à voir avec la taille est le bonsaï : peut-être que tout le monde ne sait pas que l’art du bonsaï dont on entend tant parler n’est pas un groupe d’espèces génétiquement «naines», mais plutôt une technique de croissance applicable à toutes les espèces ( en théorie), une technique basée sur des précautions appropriées pour éviter une croissance excessive de la plante, en utilisant des poids, des arrêts, des enroulements et une bonne dose de taille habile et continue. Même si elle est applicable, comme mentionné, à toutes les espèces végétales, la technique du bonsaï, précisément parce qu’elle conduit le spécimen à une limite, ne s’applique qu’à ces espèces qui au fil des siècles (la technique est originaire du VIe siècle après JC en Chine) ont prouvé leur capacité à les supporter : le meilleur de tous est le groupe ficus,
Comment tailler
Mais comment tailler un ficus pour le traiter avec la technique du bonsaï ? Disons qu’un site entier ne suffirait pas à résumer toutes les connaissances, astuces et secrets accumulés par les maîtres et scientifiques du monde entier, experts dans l’art du bonsaï ; imaginez comme on pourrait l’indiquer dans cet article précisément la partie de l’élagage, celle qui est la plus soumise aux variables d’observation et d’expérience car selon la situation devant nous certains choix doivent être faits. Dans tous les cas, l’une des tailles classiques du ficus bonsaï est celle qui voit le raccourcissement de la branche ; disons que nous avons un brin d’une certaine taille montrant un nombre de six pousses sur toute sa longueur. La technique consiste à raccourcir cette branche à la troisième pousse et à la façonner de manière à ce que cette troisième pousse soit le sommet de la branche. Ce faisant, il grandit en force sans continuer à s’étirer, et c’est exactement le but de l’art du bonsaï. Mais pas seulement cela, dans ce cas les maîtres orientaux ont fait école dans les concepts d’équilibre, de proportion et de beauté de leurs spécimens : pour cette raison il faut aussi tailler cette branche qui va vers le bas, celle qui va vers l’intérieur et celle qui qu’au lieu de cela il croise avec un autre. Le faire n’est pas facile, alors nous disons que la taille d’un bonsaï est la partie la plus exigeante de toute la technique. dans ce cas, les maîtres orientaux ont fait école dans les concepts d’équilibre, de proportion et de beauté de leurs spécimens : pour cette raison, il est également nécessaire de tailler cette branche qui descend, celle qui va vers l’intérieur et celle qui au contraire se croise avec une autre . Le faire n’est pas facile, alors nous disons que la taille d’un bonsaï est la partie la plus exigeante de toute la technique. dans ce cas, les maîtres orientaux ont fait école dans les concepts d’équilibre, de proportion et de beauté de leurs spécimens : pour cette raison, il est également nécessaire de tailler cette branche qui descend, celle qui va vers l’intérieur et celle qui au contraire se croise avec une autre . Le faire n’est pas facile, alors nous disons que la taille d’un bonsaï est la partie la plus exigeante de toute la technique.