Généralité
Climat et relief
Le platane hybride est répandu dans toute notre péninsule, entre 0 et 800 mètres d’altitude. Il pousse de préférence sur des sols humides, mais il s’adapte à pratiquement toutes les conditions édifiantes y compris le compactage. Rustique, héliophile mais adaptable en termes d’exposition, il pousse très vite, ne pose aucun problème dans les sites où l’espace pour les racines est réduit, résiste à une taille incontrôlée, résiste à l’aridité et ne pose aucun problème en cas de forte pollution urbaine. Il n’est donc pas étonnant qu’elle soit si répandue dans nos villes.
Techniques de plantation et de culture
La multiplication se fait par voie végétative, avec des boutures ligneuses en automne ou en été jusqu’à des boutures semi-ligneuses. Certaines variétés sont greffées. Le Sycomore hybride est idéal comme espèce isolée ou en petits groupes dans de grands sites. Il est largement utilisé en ville sur les avenues et les jardins bordés d’arbres où il supporte même la taille la plus drastique, mais s’il est laissé à végéter sans être dérangé, il prend une forme beaucoup plus belle et élégante. Il peut être utilisé comme point focal hivernal compte tenu de la persistance des fruits et de l’écorce décorative, associé à d’autres espèces aux caractéristiques similaires (petits saules touffus, rameau de cornus) et entouré de plantes bulbeuses à floraison précoce telles que Crocus et Eranthis hyemalis. Parmi les aspects négatifs de la plante, on se souvient du pelage de l’écorce surtout en été et de la déhiscence des fruits au printemps ou à la fin de l’hiver, qui nécessitent un entretien supplémentaire pour garder la zone sous la canopée propre. Le tronc peut se fendre à cause du gel, et pendant les étés les plus chauds et dans des conditions de forte surchauffe, les feuilles peuvent présenter des brûlures disgracieuses. Pour garder intact tout le potentiel esthétique du platane hybride, il serait nécessaire de le planter dans des zones où il a amplement la possibilité de s’étendre, dans des climats pas trop chauds et avec un sol exempt de pavage ou d’asphalte à proximité immédiate du tronc. Le tronc peut se fendre à cause du gel, et pendant les étés les plus chauds et dans des conditions de forte surchauffe, les feuilles peuvent présenter des brûlures disgracieuses. Pour garder intact tout le potentiel esthétique du platane hybride, il serait nécessaire de le planter dans des zones où il a amplement la possibilité de s’étendre, dans des climats pas trop chauds et avec un sol exempt de pavage ou d’asphalte à proximité immédiate du tronc. Le tronc peut se fendre à cause du gel, et pendant les étés les plus chauds et dans des conditions de forte surchauffe, les feuilles peuvent présenter des brûlures disgracieuses. Pour garder intact tout le potentiel esthétique du platane hybride, il serait nécessaire de le planter dans des zones où il a amplement la possibilité de s’étendre, dans des climats pas trop chauds et avec un sol exempt de pavage ou d’asphalte à proximité immédiate du tronc.
Parasites et maladies
Le sycomore hybride est sujet au cancer du sycomore coloré, causé par le champignon ascomycète Ceratocystis fimbriata sp. Platani, qui conduit les plantes atteintes à une mort certaine dans un délai plus ou moins long selon l’origine de la maladie. Si cela se produit dans un point qui peut être éliminé, il est nécessaire de procéder immédiatement avec toutes les précautions nécessaires, car le champignon produit des spores qui restent viables longtemps à l’intérieur du bois et de la sciure. Par conséquent, la mise à mort ou la taille des parties malades de la plante (faites dans l’extrême tentative de sauver le spécimen) doit être effectuée avec des outils qui seront ensuite stérilisés et avec toutes les précautions nécessaires, en brûlant immédiatement du bois et de la sciure de bois. Les autres maladies typiques du platane sont l’oïdium et l’anthracnose. Parmi les parasites des plantes on se souvient du platane d’Amérique (Corythucha ciliata) qui provoque la dépigmentation, puis le jaunissement et enfin la chute des feuilles, l’Hypantria cunea qui défolie la plante, et le Lymantria dispar qui fait de même. Nous soulignons également le bois classique rouge et jaune.