Soins de Fatshedera, Ivy ou Aralia Ivy
Cette plante ne forme pas un genre car il s’agit d’un hybride entre Fatsia japonica et Hedera helix fabriqué en 1912 en France par les frères Lizé.
Il est également connu sous les noms communs d’Aralia Ivy, Fatshiedra ou Ivy.
C’est une plante grimpante qui peut atteindre 3 mètres de haut. Ses feuilles vivaces sont similaires à celles de la Fatsia mais moins palmées et plus larges (environ 20 cm) que celles de l’Aralia (Fatsia). Ils peuvent fleurir après des années bien qu’ils produisent quelques fleurs vert clair qui ne sont pas intéressantes d’un point de vue ornemental.
Elles sont utilisées comme plantes grimpantes d’intérieur ou d’extérieur sur les terrasses et balcons orientés au nord. Ils peuvent également être conservés en couvrant un mur qui ne reçoit pas beaucoup de soleil et sont même adaptés à la culture hydro.
Fatshiedra a besoin d’une exposition très lumineuse mais sans recevoir directement les rayons du soleil et d’une humidité ambiante élevée pour laquelle il faut arroser les feuilles de temps en temps avec de l’eau chaude sans chaux ou placer sous le pot un récipient plat avec de l’eau. Les courants d’air et le fait d’être trop près du chauffage ne sont pas bons pour eux.
Un sol normal est suffisant pour les plantes d’intérieur riches en humus. La transplantation doit être effectuée en automne ou au printemps, lorsque nous voyons que les racines commencent à émerger du dessous du pot.
Arroser abondamment (sans gorgée d’eau et avec de l’eau sans calcaire) au printemps et en été, puis réduire l’arrosage jusqu’à ce qu’en hiver il soit au maximum d’une fois par semaine.
Fertiliser chaque semaine au printemps et en été avec un engrais minéral.
Vous n’avez pas besoin de taille mais si nous voulons qu’elles s’élargissent, nous pouvons enlever la pointe de la plante pour qu’elle se ramifie latéralement.
C’est une plante qui est assez résistante aux parasites et aux maladies mais qui peut être attaquée, à l’occasion, par des vers plats qui peuvent être éliminés avec un coton imbibé d’alcool à brûler.
Ils ne peuvent être multipliés qu’à partir de boutures (au moins 15 cm) de l’extrémité de la plante qui peuvent prendre racine à la fois dans le sable tourbeux et dans l’eau.