Saule pleureur : bonsaï
Saule pleureur : racines
La propagation du saule pleureur se fait par bouturage. Cela signifie que vous devez couper un fragment de la plante et l’enterrer ou le placer dans un bocal avec de l’eau pour que les racines se forment. Dans le premier cas, il sera possible de procéder à un arrosage régulier, dans le second, il faudra enterrer dans des pots, dans les cas où nous parlons de bonsaï ou de saule nain. Dans le premier cas donc, un travail minutieux sera nécessaire quant à leur disposition : ce type de plante a des racines qui n’aiment pas être forcées, c’est pourquoi elle vit si bien à l’extérieur. Dans le cas du bonsaï en revanche, il faudra travailler sur les racines les plus volumineuses, et les couper afin de garantir plus d’espace pour les capillaires, plus aptes à épouser la forme des pots qui abriteront l’arbre.
Saule pleureur : taille et arrosage.
Les deux versions «captives» du saule pleureur nécessitent des soins particuliers lors de la taille. Que vous soyez face au bonsaï ou au saule nain vous devrez passer à l’action et réaliser ces interventions pour donner à la plante la forme souhaitée. Il est conseillé de commencer le broyage à la fin du repos végétatif, qui correspond au début du printemps : les outils pour ces opérations sont disponibles dans les jardineries les mieux approvisionnées. Habituellement, ces kits comprennent différents types de ciseaux (pour les feuilles, les branches et les racines) et des pinces coupantes. Il sera bon d’utiliser les outils préalablement stérilisés et d’aider à la cicatrisation des points coupés avec du mastic, capable d’éloigner les parasites animaux et végétaux et d’accélérer le processus de cicatrisation.