Mouche blanche
Mouche blanche
» title=»Caractéristiques
– moscabianca1-1″>
La mouche blanchec’est un insecte originaire des pays subtropicaux, mais il existe aussi des espèces des zones tempérées. L’insecte appartient à la famille des Aleyrodidae et comprend plusieurs espèces d’insectes, aux capacités parasitaires différentes. L’autre nom commun des mouches blanches, également appelées mouches blanches, dérive du nom scientifique de la famille à laquelle elles appartiennent. L’insecte préfère les plantes d’extérieur et les cultures en serre. Il ne dédaigne même pas les espèces appartenant aux angiospermes, c’est-à-dire les plantes à fleurs qui ornent notoirement nos balcons et nos jardins. La capacité de l’aleurode à parasiter presque toutes les plantes découle précisément du développement de la polyphagie, dont nous avons parlé dans le paragraphe précédent. L’insecte adulte est très petit, généralement pas plus de deux millimètres et demi. Le dos est couvert d’ailes blanches, tandis que le corps est jaune. Morphologiquement, la mouche blanche est similaire aux mouches noires communes, mais en réalité ce sont deux insectes complètement différents. Ces derniers appartiennent à l’ordre des Diptères et au stade larvaire ils ont l’apparence d’un ver blanc, tandis que l’aleurode est classé dans le même ordre que les pucerons. Le stade larvaire de cet insecte est celui du néanide, une larve au corps ovale, transparent et aux très petites pattes. L’activité parasitaire est réalisée à la fois par les larves et par l’insecte adulte. Ces derniers appartiennent à l’ordre des Diptères et au stade larvaire ils ont l’apparence d’un ver blanc, tandis que l’aleurode est classé dans le même ordre que les pucerons. Le stade larvaire de cet insecte est celui du néanide, une larve au corps ovale, transparent et aux très petites pattes. L’activité parasitaire est réalisée à la fois par les larves et par l’insecte adulte. Ces derniers appartiennent à l’ordre des Diptères et au stade larvaire ils ont l’apparence d’un ver blanc, tandis que l’aleurode est classé dans le même ordre que les pucerons. Le stade larvaire de cet insecte est celui du néanide, une larve au corps ovale, transparent et aux très petites pattes. L’activité parasitaire est réalisée à la fois par les larves et par l’insecte adulte.
Plantes affectées
Les aleurodes peuvent infester tout type de plante. Ils préfèrent à la fois ceux dans les serres et ceux à l’extérieur. Sont attaqués par l’aleurode, indifféremment, les plantes destinées à la production agricole et les plantes ornementales. Parmi les premiers, on retiendra les légumineuses, les morelles, les melons, les choux, les concombres, les tomates, les olives, les figues et les agrumes. Parmi ces derniers, le dahlia, le rhododentro, la primevère, le chèvrefeuille et l’azalée.
Dangerosité
Il existe plusieurs espèces d’aleurodes. Celles des zones tempérées sont les moins dangereuses, tandis que celles subtropicales ont une forte capacité d’infestation. La propagation de l’aleurode subtropical dans nos cultures était due à l’augmentation progressive de la température et de l’humidité, ce qui a créé un environnement favorable à la reproduction de cet insecte. Les agrumes, par exemple, sont affectés par une espèce d’aleurode appelée flaccosa, du nom scientifique de l’insecte, Aleurothrixus floccosus. Dans les cultures sous serre, en revanche, une autre espèce redoutable d’aleurode, appartenant au genre Trialeurodes vaporarium, également connue sous le nom d’« aleurode des serres », trouve son habitat idéal.