Jardin à entretenir
Outils de jardinage
Si nous ne savons pas exactement où mettre nos mains dans un jardin, il serait bon de commencer à savoir au moins quels sont les outils du métier qui peuvent nous aider dans nos travaux. Partant de la base historique du jardinage (et du travail des champs), on voit que les outils de base pour ces activités sont : la pelle, la houe, la brouette, la bêche, le râteau et le manche à balai. Ces quelques outils sont exactement ce que nos grands-parents utilisaient lorsqu’ils aidaient leurs parents et oncles dans les champs dans leur jeunesse ; et depuis lors, tout est resté exactement le même, avec ces équipements de base qui sont encore parfaits aujourd’hui pour tout faire dans un jardin. Cependant, nous sommes entrés dans le troisième millénaire, dans une société hautement électronique et mécanisée, ne pourrait-il donc jamais arriver que la technologie n’intervienne pas là-dessus aussi ? Evidemment non, mais les principales raisons étaient avant tout d’ordre économique, avec l’industrie agricole qui a été rapidement dépassée par les autres et a dû se doter de certains outils pour augmenter la productivité et la compétitivité sur le marché, en réduisant les temps de traitement et la main d’œuvre nécessaire.
Motopompes
L’un des premiers et des plus polyvalents outils mécanisés introduits sur le marché était les motopompes ; ils sont, avec la tondeuse à gazon, les outils de jardinage qui facilitent la vie de ceux qui veulent aborder ce monde par passion, à la recherche de divertissement et non de fatigue excessive. Après tout, la motopompe n’est rien de plus qu’un moteur à combustion interne ou électrique relié à une pompe, qui agit comme un utilisateur de l’énergie produite par le moteur lui-même ; ensuite, les usages qui sont faits avec l’énergie de la pompe peuvent être les plus variés, et dans les meilleurs produits du marché, en remplaçant quelques petites pièces terminales, on peut rapidement passer d’un usage à l’autre. Par exemple, avec la pompe de soufflage, une masse de feuilles sèches pourrait s’accumuler dans un coin en peu de temps et l’introduire rapidement dans le panier ; dans la fonction d’aspiration, la même chose pourrait être faite mais en aspirant directement les résidus. D’autre part, si elle est équipée de la fonction aquatique, la pompe peut pousser de l’eau ou d’autres liquides dans des tuyaux qui se terminent souvent par des buses d’arrosage. Ce ne sont là que quelques-unes des applications de cet instrument mécanisé qui, grâce à une roue et des conduits de forme appropriée, est capable de convertir l’énergie du moteur en énergie à donner à l’air et/ou à l’eau sous forme de vitesse ou autre.
Modèles et tarifs
Nous avons déjà mentionné comment les pompes peuvent être construites de manière à s’adapter à divers usages ; il s’agit avant tout de pousser de l’air et des liquides comme dans les exemples précédents, mais ce n’est pas le soleil. Il va sans dire que les modèles capables d’offrir une telle polyvalence ont un coût d’achat plus élevé que la moyenne de l’industrie, étant donné la plus grande technologie présente et la conception et la construction plus précises et complexes requises. Eh bien, à côté de cette fonctionnalité, il y a aussi celle qui fait varier le modèle en fonction de l’alimentation du moteur. En fait, ce qui met la pompe en mouvement peut être soit un moteur à combustion interne, soit un moteur électrique ; dans le premier cas le résultat est similaire aux tronçonneuses ou aux générateurs électriques, c’est à dire puissance constante et longue durée de vie et fiabilité face à un certain bruit qui dans certaines situations peut gêner. Quand on est plutôt face à un moteur électrique, on peut être sûr que son fonctionnement sera très silencieux et très régulier, mais souvent on se retrouve avec une autonomie limitée par la résistance des batteries et aussi avec la tâche de devoir les recharger sinon vous ne pourrez pas continuer le travail, qui à la place du moteur à combustion interne, rechargé en mélange, peut continuer sans problème.