Principales maladies
Symptômes
Les plantes succulentes ont généralement une grosse tige mais les feuilles, si elles sont présentes, sont succulentes, tandis que plus fréquemment les feuilles ont subi une évolution en épines, il peut donc être plus difficile qu’avec d’autres plantes de reconnaître la présence de parasites. l’apparition de taches de couleurs différentes sur les feuilles. Parmi les parasites, la cochenille est celle qui peut affecter le plus fréquemment les plantes succulentes et se manifeste par des taches ovales et de couleur foncée sur la tige de la plante. Une croissance irrégulière, avec une tige très allongée et fine, est plutôt le signe d’une mauvaise culture, due à une mauvaise lumière ou à un manque d’eau. De même, la présence d’une moisissure blanchâtre à la base de la tige n’identifie pas la présence de parasites mais signale une erreur du point de vue de la culture, avec présence d’eau stagnante ou en tout cas d’excès d’eau. Les racines, dans ce cas, risquent de pourrir : ce symptôme peut être anticipé par des taches jaunâtres, toujours concentrées sur la partie inférieure de la tige. Des erreurs de culture peuvent également se manifester avec le plissement de la tige, présent notamment dans le cas où le sol est trop pauvre en éléments nutritifs. Une mauvaise nutrition et un éclairage insuffisant sont également signalés par une floraison rare ou absente dans la période prévue, tandis que les trous dans les tissus sont généralement l’œuvre de l’oziorrinco, un coléoptère particulièrement agressif avec les succulentes. elles risquent de pourrir : ce symptôme peut être anticipé par des taches jaunâtres, toujours concentrées sur la partie inférieure de la tige. Des erreurs de culture peuvent également se manifester avec le plissement de la tige, présent notamment dans le cas où le sol est trop pauvre en éléments nutritifs. Une mauvaise nutrition et un éclairage insuffisant sont également signalés par une floraison rare ou absente dans la période prévue, tandis que les trous dans les tissus sont généralement l’œuvre de l’oziorrinco, un coléoptère particulièrement agressif avec les succulentes. elles risquent de pourrir : ce symptôme peut être anticipé par des taches jaunâtres, toujours concentrées sur la partie inférieure de la tige. Des erreurs de culture peuvent également se manifester avec le plissement de la tige, présent notamment dans le cas où le sol est trop pauvre en éléments nutritifs. Une mauvaise nutrition et un éclairage insuffisant sont également signalés par une floraison rare ou absente dans la période prévue, tandis que les trous dans les tissus sont généralement l’œuvre de l’oziorrinco, un coléoptère particulièrement agressif avec les succulentes. présent notamment lorsque le sol est trop pauvre en nutriments. Une mauvaise nutrition et un éclairage insuffisant sont également signalés par une floraison rare ou absente dans la période prévue, tandis que les trous dans les tissus sont généralement l’œuvre de l’oziorrinco, un coléoptère particulièrement agressif avec les succulentes. présent notamment lorsque le sol est trop pauvre en nutriments. Une mauvaise nutrition et un éclairage insuffisant sont également signalés par une floraison rare ou absente dans la période prévue, tandis que les trous dans les tissus sont généralement l’œuvre de l’oziorrinco, un coléoptère particulièrement agressif avec les succulentes.
La prévention
Comme nous l’avons vu, bon nombre des perturbations qui peuvent se manifester chez les plantes succulentes proviennent de conditions de culture défavorables : une bonne forme de prévention, dans ce cas, est donc constituée par l’attention aux conditions environnementales et climatiques correctes auxquelles les plantes succulentes sont exposées. Les succulentes étant très sensibles au froid, la culture est recommandée en pots, afin de pouvoir déplacer les plantes au début de la mauvaise saison et les emmener dans des endroits abrités et suffisamment chauds. Il est également important de vérifier périodiquement l’état de santé de la plante : la prévention passe précisément par le contrôle minutieux de la plante, qui par un développement anormal ou la présence de taches ou de petits trous peut indiquer la présence de souffrances causées par des carences, environnement hostile ou d’attaque de parasites : pouvoir le remarquer au stade initial est la première étape pour assurer la cicatrisation de la plantule. Pendant la période de récupération du cycle végétatif et pendant la période de floraison, la santé des plantes succulentes peut être favorisée en utilisant un engrais spécifique, afin d’enrichir le sol avec tous les éléments nutritionnels nécessaires. Il est possible de recourir aux pesticides à titre préventif, bien qu’il soit conseillé de sélectionner un produit adapté et pas trop agressif. de manière à enrichir le sol de tous les éléments nutritifs nécessaires. Il est possible de recourir aux pesticides à titre préventif, bien qu’il soit conseillé de sélectionner un produit adapté et pas trop agressif. de manière à enrichir le sol de tous les éléments nutritifs nécessaires. Il est possible de recourir aux pesticides à titre préventif, bien qu’il soit conseillé de sélectionner un produit adapté et pas trop agressif.
Maladie des plantes succulentes : soins des plantes succulentes
Les diverses perturbations des plantes succulentes liées à des conditions climatiques et environnementales défavorables sont facilement résolues, à condition d’agir à temps, dès l’apparition des premiers symboles. Si la plante a un développement trop fin et allongé, par exemple, le rétablissement des conditions climatiques et environnementales optimales permettra la reprise d’une croissance moins anormale et la reprise, si absente, de la floraison. Une attention particulière doit être portée à la présence de moisissures : les succulentes souffrent notamment de l’excès d’eau dans le sol et de la stagnation de l’eau, il sera donc important d’intervenir aux premiers signes, sinon le risque est celui de ne pas pouvoir résoudre le problème .situation. Pour les succulentes succulentes à feuilles, si le l’attaque parasitaire est localisée, il ne sera possible d’éliminer que les feuilles atteintes, tandis que si l’infestation est plus étendue, il faudra recourir à la lutte chimique ; il est possible d’utiliser des insecticides à base de savon, moins agressifs pour la plante. Contre l’oziorrinco, en revanche, il est important que le terreau de rempotage soit d’excellente qualité et frais, et qu’il ne contienne pas de larves de ce coléoptère agressif.