Liste des arbres
Ivy : le premier d’une longue liste d’arbres grimpants
Jasmin
Le nom jasmin dérive du persan ‘yasamin’, une espèce qui à son tour fait référence au genre Jasminum, comprenant environ deux cents espèces arbustives, dressées ou grimpantes (famille des oléacées). Le jasmin le plus connu est sans aucun doute le Jasminum officinale, un arbuste pouvant atteindre une dizaine de mètres de haut, aux petites fleurs blanches très parfumées, réunies en panicules. Originaire d’Asie centrale, elle est également cultivée en Italie, dans les régions plus chaudes et en climat tempéré. D’autres variétés de jasmin, de taille plus modeste et aux fleurs colorées (par exemple le Jasminum nudiflorum jaune et le Beesianum, aux fleurs rouges) préfèrent l’ombre, bien qu’elles soient capables de s’adapter à tout type de terrain et d’emplacement.
Glycine
La glycine est un genre de plante grimpante appartenant à la famille des Fabacées ; originaire de Chine, il a été importé et par conséquent cultivé en Europe dès les premières décennies du XIXe siècle. Nous sommes en présence d’un arbuste, l’un des nombreux arbres grimpants de la longue liste présents sur notre continent, capable de pousser jusqu’à vingt mètres de haut et de survivre (dans des conditions climatiques optimales) même jusqu’à soixante-dix ans. Plutôt résistant également au climat des régions du nord, il s’est largement répandu en raison de sa grande capacité d’adaptation aux intempéries et aux conditions climatiques les plus étroites ; cette caractéristique le rend particulièrement adapté à une utilisation comme plante grimpante décorative, même à proximité de très longues clôtures murales.
Liste des arbres : La Boungainvillea
Le bougainvillier est une plante qui pousse principalement dans les zones à climat tropical, capable de créer de véritables explosions de couleurs grâce à la présence de fleurs colorées pendant onze mois par an, surtout s’il est planté dans le bon climat. C’est un arbuste grimpant, très semblable à une vraie vigne, capable de grimper de manière assez ferme sur les murs et les treillis, poussant avec une certaine régularité chaque année s’il n’est pas exposé à des températures trop froides qui compromettraient sa croissance ; en effet ce n’est pas un hasard si le bougainvillier préfère les endroits chauds et peu humides et que pendant les mois les plus froids de l’année de nombreux producteurs préfèrent lui fournir une sorte d’abri du gel au moyen de bâches en plastique résistantes.