Épicéa
Généralité
Climat et relief
Le Peccio est présent dans le nord de l’Italie, dans toutes les régions jusqu’à la Toscane, l’Ombrie et l’Emilie Romagne, entre 0 et 2200 m d’altitude, évidemment typique du Picetum mais également présent dans la ceinture du fagetum et du castanetum. Il peut également former des forêts très denses. Le rustique, bien qu’encore sensible aux gelées très tardives, souffre d’étés trop chauds. Il préfère l’ombre partielle à basse altitude, le plein soleil à haute altitude, et préfère les étés frais et pluvieux. Quant au pH et aux caractéristiques du sol, il est très adaptable. Il n’aime pas particulièrement les sols alcalins, mais est plus adaptable que les autres congénères. Il peut vivre dans des sols très acides, aime l’humidité mais pas une vraie immersion prolongée, et est capable de résister aux vents saumâtres. Il ne tolère pas la pollution.
Techniques de plantation et de culture
La propagation du Peccio se fait par graines ou immédiatement après la récolte ou au début du printemps, protégeant les plantules du gel et des gelées tardives. Le premier hiver doit être passé à l’abri dans une serre froide. La capacité de germination des graines est naturellement maintenue même deux ans. Quant à la multiplication végétative, dans la nature (en particulier dans les climats plus froids où la dissémination a tendance à être rare), elle peut se produire par ramification dans les branches qui touchent le sol et qui peuvent donc émettre des racines. Alternativement, vous pouvez procéder à des boutures apicales semi-ligneuses de 5-8 cm en août, qui s’enracineront le printemps suivant, ou des boutures ligneuses en septembre-octobre (elles s’enracineront 12 mois plus tard). De par ses caractéristiques, l’épicéa est idéal dans les grands jardins privés, isolés ou en grands groupes, entouré d’autres conifères contrastant avec sa texture et sa couleur, ou de rhododendrons, de myrtilles et d’azalées. Ses cultivars inhabituels tels que le Frohburg pleureur ou le Reflexa conviennent aux amateurs passionnés de plantes particulières. Les cultivars nains peuvent être cultivés dans de grands contenants avec d’autres conifères nains ou avec des vivaces adaptées aux besoins de croissance et à l’apparence, ou placés près d’une rocaille très ensoleillée. Il est utilisé et vendu chaque année à Noël comme arbre à décorer. Les cultivars nains peuvent être cultivés dans de grands contenants avec d’autres conifères nains ou avec des vivaces adaptées aux besoins de croissance et à l’apparence, ou placés près d’une rocaille très ensoleillée. Il est utilisé et vendu chaque année à Noël comme arbre à décorer. Les cultivars nains peuvent être cultivés dans de grands contenants avec d’autres conifères nains ou avec des vivaces adaptées aux besoins de croissance et à l’apparence, ou placés près d’une rocaille très ensoleillée. Il est utilisé et vendu chaque année à Noël comme arbre à décorer.
Parasites et maladies
Parmi les parasites typiques de l’espèce, nous rappelons Chermes viridis, un puceron qui produit des galles apicales en forme d’ananas, le scolyte (Ips typographus) un scolyte qui se nourrit du bois de l’arbre dans lequel il creuse d’innombrables tunnels, et les araignées rouges.