Petits Jardiniers

doryphore

Le doryphore des solanacées

Le doryphore est l’un des principaux ennemis des jardins potagers : on le trouve dans les terres cultivées principalement avec des pommes de terre ou des aubergines, car il est particulièrement attiré par les solanacées. Il n’est pas facile de l’éliminer et de l’éradiquer de votre jardin, pourtant il est important de pouvoir le faire afin de sauver les cultures, qui sinon pourraient être complètement détruites avec la prolifération de cet insecte. Contrairement à de nombreux autres parasites, cependant, le doryphore offre un avantage : la facilité d’identifier sa présence. Il s’agit, en fait, d’un véritable insecte de taille relativement importante, qui apparaît facilement visible à l’œil nu. Le doryphore de la pomme de terreest un insecte phytophage qui appartient à la famille des coléoptères : comme les autres insectes de cette catégorie, il possède une coquille rigide qui le protège et qui présente des stries de couleur vive qui lui permet de se fondre dans le sol, mais au contraire le rend particulièrement visible lorsqu’il est placé sur des éléments de couleur homogène, tels que de grandes feuilles ou des aubergines, de couleur sombre. Le doryphore de la pomme de terre n’attaque pas directement les fruits des plantes, mais compromet les parties vertes, qui à leur tour ne pourront plus produire de sucres et se nourrir, s’affaiblissant et ne pouvant plus fournir la nourriture nécessaire même aux fruits , qui ne sont plus capables de grandir et de se développer.

La prévention


La prévention contre le doryphore est une opération fondamentale : ce doryphore possède une résistance aux produits chimiques et une adaptabilité étonnantes, développant une immunité contre différents types de pesticides et de pesticides au fil du temps. La prévention est encore plus importante si l’on tient compte du fait qu’une fois les insectes bien visibles à la surface des feuilles, cela signifie que l’infestation est déjà à un stade avancé. Le doryphore, en effet, pendant la période hivernale grandit et prolifère à une profondeur d’environ 14 à 16 cm dans le sol, pour ressortir à la surface avec l’arrivée du printemps et des températures plus douces. Pendant cette période, il pondra plus d’œufs, augmentant le nombre d’infestations et rendant de plus en plus difficile l’éradication de la colonie. Même dans le cas du doryphore, la première forme de prévention consiste à créer un environnement naturel favorable au développement des cultures, mais pas à celui des insectes et parasites. La fertilisation et le paillage sont deux opérations qui renforcent les plants, avec notamment l’utilisation d’engrais organiques. Si vous voyez des œufs en déplaçant le sol, il est important de les retirer immédiatement, pour éviter qu’ils ne donnent naissance à des insectes qui à leur tour continueront à se reproduire. De plus, étant un insecte particulièrement résistant, le problème peut être évité en choisissant de planter des variétés de solanacées particulièrement résistantes. La fertilisation et le paillage sont deux opérations qui renforcent les plants, avec notamment l’utilisation d’engrais organiques. Si vous voyez des œufs en déplaçant le sol, il est important de les retirer immédiatement, pour éviter qu’ils ne donnent naissance à des insectes qui à leur tour continueront à se reproduire. De plus, étant un insecte particulièrement résistant, le problème peut être évité en choisissant de planter des variétés de solanacées particulièrement résistantes. La fertilisation et le paillage sont deux opérations qui renforcent les plants, avec notamment l’utilisation d’engrais organiques. Si vous voyez des œufs en déplaçant le sol, il est important de les retirer immédiatement, pour éviter qu’ils ne donnent naissance à des insectes qui à leur tour continueront à se reproduire. De plus, étant un insecte particulièrement résistant, le problème peut être évité en choisissant de planter des variétés de solanacées particulièrement résistantes.

Remèdes naturels


La lutte contre le doryphore, si l’infestation n’est pas trop importante, peut également être menée par des méthodes naturelles de prévention et de contrôle. Une des méthodes préventives efficaces consiste à placer des plantes qui l’éloignent, comme l’ail, l’oignon, les haricots ou le raifort, à proximité des cultures sensibles au doryphore de la pomme de terre. Alternativement, il est possible d’introduire des insectes ennemis du doryphore, mais pas des cultures, comme Lebia grandis, nosema leptinotarsa ​​​​ou edovlum puttleri, même si ce dernier n’est pas toujours capable de s’adapter à nos climats, étant d’origine tropicale . Des remèdes utiles à utiliser comme pesticides existent aussi sous forme naturelle : ce sont des préparations de farine de roche ou des macérats d’ortie : ce ce dernier peut également être préparé indépendamment et ajouté à l’eau d’arrosage sur une base régulière pour rendre le sol indésirable pour le doryphore. Cependant, ces préparations sont efficaces lorsque l’infestation n’est pas trop étendue : sinon, les remèdes naturels risquent de ne pas suffire et vous devrez passer à l’utilisation de remèdes chimiques.

Doryphore : combat chimique


La lutte contre le doryphore peut être accomplie par des méthodes biologiques ou des méthodes chimiques. Dans les deux cas, vous vous retrouverez face à une plante qui fait preuve d’une grande résistance et adaptabilité, une intervention ciblée et précoce est donc indispensable. Le doryphore de la pomme de terre peut être mis en contraste avec les pesticides et produits spécifiques : la lutte chimique est recommandée dans le cas où la prolifération du doryphore de la pomme de terre est désormais évidente, puisqu’il faut utiliser des produits agressifs qui pourraient aussi compromettre partiellement les cultures. Les traitements doivent être effectués plusieurs fois et quelques essais peuvent être nécessaires avant d’identifier le produit chimique le plus adapté au doryphore et en même temps de préserver les cultures de votre jardin. Moi aussi’

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