Les roses
Cultivation
Généralement les rosiers sont cultivés en pots : cela permet, en cas d’exposition extérieure, de les déplacer vers des espaces abrités pendant la saison hivernale. L’arbuste survit bien même en cas de températures élevées, mais il ne tolère pas les climats rigoureux qui descendent en dessous de zéro. Des températures supérieures à trente degrés, cependant, pourraient provoquer une chute prématurée des fleurs et une brûlure des feuilles. Il vaut donc mieux éviter de s’exposer directement au soleil trop longtemps dans les périodes les plus chaudes, en choisissant toutefois un endroit bien éclairé. Pour parer davantage à de tels risques, des arrosages plus fréquents seront prévus pendant les mois d’été, qui se font généralement par immersion. Cependant, il est important d’être prudent et d’éviter de mouiller les feuilles et les fleurs : une humidité excessive pourrait favoriser la prolifération de parasites et de maladies fongiques. L’azote, le magnésium, le fer et le potassium sont des éléments essentiels pour un développement fleuri et sain des roses, c’est pourquoi à partir de la période hivernale et jusqu’à l’apparition des premiers bourgeons, il est conseillé d’apporter des fertilisations périodiques pour enrichir le sol avec tous les nutriments spécifiques nécessaires à le développement de la plante.
Rempotage, reproduction et taille
Les roses n’ont pas besoin de grands espaces pour se développer, l’arbuste peut donc être initialement placé dans de petits pots. Au fil du temps, lorsqu’un rempotage est nécessaire, vous pouvez alors choisir de placer la plante avec toutes ses racines dans un récipient légèrement plus grand. Les opérations de rempotage sont extrêmement simples et nécessitent simplement l’utilisation d’un terreau universel ; pour un substrat plus nutritif, il est possible de déposer une couche de fumier sous la plante. Le rempotage peut se faire au printemps à partir de la deuxième année de vie de la plante. La reproduction s’effectue au contraire uniquement par bouturage : également dans ce cas la meilleure période pour intervenir est le printemps, avec la coupe de branches d’environ 10 cm à placer dans un composé de terre, sable et tourbe très humides pour favoriser l’enracinement. Cette opération durera environ un mois, après quoi il sera possible de commencer à réduire le taux d’humidité et à faire circuler l’air. La reproduction sera suivie de deux toppings, à environ un mois d’intervalle. Une fois que la plante a atteint un développement considérable, il est possible de maîtriser la taille de l’arbuste et de favoriser son développement sain par la taille : elle sera réalisée en période d’automne ou d’hiver, tandis qu’en été les fleurs seront éliminées avant qu’elles ne peut être à l’origine du fruit, ce qui affaiblirait la plante. La reproduction sera suivie de deux toppings, à environ un mois d’intervalle. Une fois que la plante a atteint un développement considérable, il est possible de maîtriser la taille de l’arbuste et de favoriser son développement sain par la taille : elle sera réalisée en période d’automne ou d’hiver, tandis qu’en été les fleurs seront éliminées avant qu’elles ne peut être à l’origine du fruit, ce qui affaiblirait la plante. La reproduction sera suivie de deux toppings, à environ un mois d’intervalle. Une fois que la plante a atteint un développement considérable, il est possible de maîtriser la taille de l’arbuste et de favoriser son développement sain par la taille : elle sera réalisée en période d’automne ou d’hiver, tandis qu’en été les fleurs seront éliminées avant qu’elles ne peut être à l’origine du fruit, ce qui affaiblirait la plante.
Roselline : Maladies et parasites
Comme de nombreuses espèces arbustives, le rosier est sensible aux attaques de parasites et notamment de maladies fongiques, pour lesquelles une opération préventive sera nécessaire. Elle peut être réalisée pendant la phase d’arrosage, grâce à l’utilisation de produits spécifiques. Les pucerons, les cochenilles, le bad white et la rouille sont les principaux ennemis de cette plante, contre lesquels il faudra agir avec des traitements spécifiques préventifs ou ultérieurs, pour éradiquer l’infestation, au cas où elle serait généralisée et qu’il ne serait plus possible de se limiter à couper la branche touchée. Comme on l’a vu, une humidité excessive peut également être nocive pour la plante, il est donc conseillé d’éviter la stagnation de l’eau et de prévoir plutôt d’arroser plus fréquemment. Un sol fertile et dûment fertilisé, une