Petits Jardiniers

Cochenille

Cochenille

Les plantes sont souvent sensibles aux attaques d’insectes parasites. Ces derniers doivent leur nutrition et donc leur survie à leur capacité à passer toute leur vie sur les végétaux : sur les branches, les fruits, les feuilles ou l’écorce des arbres. Parmi les parasites les plus redoutables, il faut également se souvenir de la cochenille, un insecte au fort pouvoir infestant pour la grande majorité des plantes, tant ornementales que fruitières. Dans la nature, il existe plusieurs espèces et sous-espèces de cochenille, certaines sont oliphages, c’est-à-dire qu’elles ne préfèrent que certaines plantes, tandis que d’autres sont polyphages, c’est-à-dire qu’elles se nourrissent de n’importe quelle plante. Cette grande variabilité morphologique rend les cochenilles très nuisibles, tant pour les plantes ornementales que pour celles cultivées à des fins productives.

Caractéristiques


La cochenille est un insecte parasite appartenant au genre Rhynchota et à la famille Coccoidée. Même si son nom semble tendre et délicat, presque sympathique à vrai dire, son comportement est très nocif pour nos plantes, tant pour les dégâts directs que directs que la cochenille est capable de causer. Cet insecte comprend une variété considérable de spécimens, certains avec des caractéristiques morphologiques, des couleurs et des méthodes d’attaque complètement différentes. Appartenir à différentes espèces de cochenille signifie qu’il existe des insectes très dangereux pour les plantes et d’autres totalement inoffensifs. La classification entre les cochenilles polyphages et oliphages est également effectuée en référence à différentes espèces d’insectes. La cochenille a un corps ovale, avec un dos convexe, tête et pattes latérales presque invisibles. Vus au microscope, les cochenilles ressemblent à de petits œufs marchant sur les plantes. L’insecte a des dimensions très réduites, de quelques millimètres, alors que seuls certains spécimens des régions tropicales peuvent atteindre trois centimètres. Les femelles de cochenille sont généralement plus grosses que les mâles, qui, même dans les régions chaudes de la planète, ne peuvent guère dépasser un centimètre de longueur. Les mâles sont ailés, tandis que les femelles sont aptères, c’est-à-dire antéreuses. même dans les zones les plus chaudes de la planète, ils ne parviennent presque jamais à dépasser un centimètre de longueur. Les mâles sont ailés, tandis que les femelles sont aptères, c’est-à-dire antéreuses. même dans les zones les plus chaudes de la planète, ils ne parviennent presque jamais à dépasser un centimètre de longueur. Les mâles sont ailés, tandis que les femelles sont aptères, c’est-à-dire antéreuses.

Cycle de la vie


La reproduction de la cochenille se produit à la fois sexuellement et parthénogenèse (asexuée). La reproduction asexuée se produit par des femelles hermaphrodites qui possèdent à la fois des organes reproducteurs féminins et masculins. Les mâles de l’insecte ne sont utilisés que pour la reproduction sexuée, complétant ainsi définitivement leur cycle de vie. Après la reproduction, en effet, les cochenilles mâles meurent. De nouvelles générations d’insectes se développent à partir du ventre de la femelle, à partir d’œufs pondus à l’extérieur ou à partir d’œufs qui éclosent directement dans le ventre de la mère. Pour cette particularité on dit que les cochenilles peuvent être vivipares (naissance dans le ventre de la mère), ovipares (naissance après la ponte des œufs) et ovovivipares (naissance à partir d’œufs contenus dans l’utérus). Les larves de cochenille sont appelées nymphes et ont l’apparence d’insectes de taille infinitésimale. La larve passe par trois stades de développement qui lui permettent de devenir adulte. La capacité de reproduction des cochenilles est très élevée : en un an, les femelles de certaines espèces peuvent pondre de 400 à 500 œufs, donnant vie à trois générations de nymphes. Selon l’espèce à laquelle ils appartiennent, les cochenilles peuvent avoir un dos blanc, rouge, brun ou jaune.

Infestation


Les cochenilles infestent la plante et y passent presque toute leur vie. Les femelles se nourrissent des plantes et donc les endommagent, tandis que les mâles ailés se déplacent d’une plante à l’autre uniquement pour s’accoupler. Pour favoriser l’accouplement, les femelles émettent des phéromones très puissantes. À partir du cycle de reproduction, de nombreuses nymphes naîtront, qui, à leur tour, endommageront la plante en se nourrissant de ses parties végétales. La cochenille se nourrit de la plante grâce à des pièces buccales suceuses et piquantes qui soustraient la sève de la plante. Les cochenilles adultes et les nymphes se nourrissent de la sève. Les insectes restent longtemps sur l’écorce, sur les feuilles, sur les branches et sur les fruits des plantes, provoquant des dommages directs et indirects. Les premiers sont causés par l’action de succion de la cochenille,

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