L’arrosage des clématites
Culture et entretien des clématites
Pour les clématites, vous avez besoin d’un sol doux, léger et bien drainé, éventuellement pas argileux. La multiplication se fait par bouturage ou par semis ; dans le premier cas l’opération doit être effectuée dans des récipients remplis de terre mélangée à de la tourbe et d’une petite quantité de sable, tandis que dans le second les graines sont placées directement dans le pot. Après quelques mois, il est possible d’effectuer la greffe au jardin, en pleine terre, ou à l’intérieur d’un contenant plus grand ; le rempotage doit être fait périodiquement. La taille est indispensable pour éliminer les branches sèches et celles endommagées par des facteurs tels que le vent, le froid, les parasites ou les attaques de champignons ; il est nécessaire d’intervenir avec des outils tranchants et propres, afin d’éviter d’éventuelles infections.
Fertilisation
Une première fertilisation doit être effectuée au moment de la plantation, en utilisant des substances naturelles telles que du fumier mûr ou du fumier ; de cette façon, la plante disposera des nutriments nécessaires pour les premiers stades de développement. Par la suite, pendant la période végétative, il est recommandé d’effectuer une fertilisation tous les quinze jours, afin d’assurer une floraison luxuriante du spécimen : pour cette opération il est conseillé d’utiliser des produits liquides, à intégrer à l’arrosage. De plus, chaque année, et précisément à la fin de la saison d’automne, il est conseillé de donner à la plante un engrais organique, ou granulaire qui équilibre les trois macroéléments nécessaires, à savoir le phosphore, le potassium et l’azote, ainsi que des microéléments tels que magnésium,
Clématite : Exposition, ravageurs et maladies
L’exposition parfaite pour les clématites est ensoleillée ou mi-ombragée ; la plante ne craint pas le froid, mais les vents excessifs peuvent être dangereux. De plus, il faut s’assurer que les racines ne sont pas directement touchées par le soleil, et qu’elles sont toujours fraîches. De plus, des attaques de parasites comme les pucerons peuvent se produire, qui provoquent des perforations des feuilles et des pousses en suçant la sève : pour les contrer, des remèdes naturels comme le macérat d’ortie suffisent, mais il faut intervenir lorsque l’infestation est encore à son paroxysme. étapes préliminaires. Parmi les maladies fongiques, en revanche, il faut noter l’oïdium, également appelé albugine en raison de la moisissure blanchâtre qu’il provoque sur le feuillage ; ils sont responsables des champignons Ascomycota, qui doivent être éradiqués par des traitements fongicides à base de soufre.