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Chrysanthème

Plantes vivaces

Les plantes regroupées sous le nom de « vivaces » sont ces plantes qui ne vivent pas selon une saison végétale classique qui va du printemps à l’automne et se régénèrent ensuite uniquement par graines, mais elles survivent à l’hiver (pour les plantes cette saison est définie comme végétative reste) avec le système racinaire inchangé et avec – souvent – une grande partie du squelette de base de la plante. Très souvent la période hivernale se passe à perdre toutes les feuilles et sans aucune trace de vie, donc ni repousse des feuilles, ni fleurs, ni fruits et donc aussi sans même une croissance en taille de la plante. En réalité, on pourrait volontiers définir cette phase comme « économie d’énergie » : la plante, afin de pouvoir surmonter les froides journées d’hiver, elle minimise les efforts et surtout la possibilité de risque de « brûlures froides », si fréquentes et si dévastatrices. Le mimosa est un exemple de plante qui souffre souvent de cette brûlure par le froid en raison de sa floraison printanière très précoce : en février, il fait déjà germer de nouvelles feuilles, mais pendant cette période, il peut encore y avoir des baisses drastiques de la température qui, en de nombreux cas sont mortels pour la plante. De nombreuses vivaces, en raison de leur durabilité, sont appréciées comme plantes décoratives. mais pendant cette période, il peut encore y avoir des baisses drastiques de température qui, dans de nombreux cas, sont fatales à la plante. De nombreuses vivaces, en raison de leur durabilité, sont appréciées comme plantes décoratives. mais pendant cette période, il peut encore y avoir des baisses drastiques de température qui, dans de nombreux cas, sont fatales à la plante. De nombreuses vivaces, en raison de leur durabilité, sont appréciées comme plantes décoratives.

Le chrysanthème


Une plante vivace connue dans le monde entier est le chrysanthème : c’est une plante au caractère herbacé qui est probablement présente sur Terre depuis plusieurs millions d’années, car il n’est pas possible de retracer exactement ses terres d’origine, ayant trouvé fossiles à la fois en Europe et en Asie, ainsi qu’en Amérique où il est répandu. Non seulement cela, le fait qu’il existe un grand nombre d’espèces de ce genre de plantes a également contribué à la «confusion» générale, rendue encore plus grande par la grande quantité d’hybrides créés par l’homme pour satisfaire les besoins commerciaux. En fait, le chrysanthème a un grand commerce en raison de ses fleurs nombreuses et colorées, durables même coupées et en fait, le chrysanthème est l’une des matières premières de l’industrie des fleurs coupées. mariant d’excellentes couleurs et une grande durabilité même à sec. Les nombreuses espèces de chrysanthème diffèrent principalement par la taille de la fleur, mais parmi elles, il existe également des espèces annuelles, ainsi que des vivaces. Les annuelles sont principalement utilisées pour les fleurs coupées et pour la décoration en tant que fleur, tandis que les vivaces connaissent un grand succès commercial en tant que plante de jardin et d’intérieur.

Culture et adversité

La culture de notre Chrysanthème dépend beaucoup de l’espèce devant laquelle nous nous trouvons ; dans le cas d’une espèce annuelle elle doit être plantée à la fin du printemps (au moins fin mars, pour éviter le gel) dans un sol que l’on peut qualifier de «généreux», donc équilibré dans les éléments et bien fertilisé dès le début. La meilleure position pour le chrysanthème est la position ensoleillée : il résiste très bien à l’exposition directe et en effet il en a besoin, car l’ombre le flétrit et fait périr tout le spécimen. Si, par contre, nous avons un chrysanthème vivace il ne faut penser qu’à le placer dans un endroit toujours ensoleillé (également en vue des années à venir) et à le fertiliser régulièrement, uniquement en réduisant drastiquement les doses en hiver. Les adversités qui affectent malheureusement le chrysanthème ne sont pas rares et ne se limitent pas à un seul groupe : en représentant des champignons on trouve la maladie blanche, la pourriture grise, la trachéomycose, la variole et la rouille (impatience généralisée sur la plante) ; pour les virus : mosaïque, jaune et nanisme. En plus de ceux-ci, nous avons également: la pourriture médullaire, la pourriture molle, l’anguille et les punaises de lit, donc à la fois des attaques bactériennes et d’insectes. La prévention est importante et nous devons donc nous rappeler d’éviter les accumulations d’eau et d’humidité, l’ombrage prolongé et la non-fertilisation.

Chrysanthème : sens et curiosité

Le chrysanthème, du moins dans le monde catholique occidental, a une signification peu agréable, car il est associé et rappelé comme «fleur des morts»: en fait, c’est l’espèce qui, à l’occasion du deuil, est donnée aux proches et/ou se tient autour du cercueil funéraire. Cela semblerait un léger contraste car il s’agit d’une espèce florale très colorée, mais la tradition se souvient du chrysanthème comme la fleur de la vérité et de la douleur, il exprime donc avec grâce sa proximité sincère dans des moments sombres et laids mais malheureusement inévitables de la vie elle-même. Curieusement, à ces occasions, la plante de chrysanthème n’est jamais offerte : on ne sait pas s’il s’agit d’une imposition de la tradition ou simplement d’une habitude, mais elle se limite à un bouquet de fleurs de chrysanthème, de préférence pas abondant pour éviter les «scènes» lors d’occasions qui ont très peu de célébration. Le nom « chrysanthème » dérive du grec et signifie « fleur d’or » : peu d’auteurs en ont parlé ou en tout cas peu de témoignages sont parvenus jusqu’à nos jours, mais en général on comprend comment la fleur a toujours été appréciée. Sa culture est très simple et rentable, étant donné le peu d’attention dû et les grands résultats floraux qui peuvent être obtenus même en peu de temps.

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