Aleurodide
La mouche blanche
la reproduction
Pour rendre ces ennemis de la verdure encore plus redoutables est leur vitesse de reproduction, telle que, dans un environnement qui leur est favorable, ils peuvent donner naissance à plusieurs générations au cours de l’année, avec une colonisation très rapide des zones de la plante. . D’autre part, leur caractère mobile profite aux producteurs : en déplaçant la plante, ils s’envoleront, ne l’abandonnant pas pour toujours mais signalant au moins ainsi la présence de l’infestation en cours. Chaque femelle est généralement capable de pondre de 150 à 200 œufs, qui se trouvent sur la face inférieure des feuilles et sont reconnus comme des taches lumineuses caractéristiques. Les nymphes naîtront des œufs, qui devront se développer en quatre étapes différentes avant de pouvoir être considérées comme des adultes. Ce chemin évolutif nécessite la environ un mois, il est donc important d’intervenir rapidement lorsque la présence de ces insectes est constatée, afin d’éviter qu’ils n’atteignent l’âge adulte et donnent naissance à une nouvelle génération, qui à son tour pondra des œufs sur la plante. La prolifération est favorisée par des milieux chauds et humides, dans lesquels il y a une mauvaise ventilation : d’où l’importance d’une taille correcte des plantes, qui favorise le passage de l’air même entre les frondes internes. Les plantes cultivées en serre sont également sujettes à des attaques fréquentes, où l’environnement recréé peut être très favorable à ces insectes d’origine tropicale. l’âge adulte et donner naissance à une nouvelle génération, qui à son tour pondra des œufs sur la plante. La prolifération est favorisée par des milieux chauds et humides, dans lesquels il y a une mauvaise ventilation : d’où l’importance d’une taille correcte des plantes, qui favorise le passage de l’air même entre les frondes internes. Les plantes cultivées en serre sont également sujettes à des attaques fréquentes, où l’environnement recréé peut être très favorable à ces insectes d’origine tropicale. l’âge adulte et donner naissance à une nouvelle génération, qui à son tour pondra des œufs sur la plante. La prolifération est favorisée par des milieux chauds et humides, dans lesquels il y a une mauvaise ventilation : d’où l’importance d’une taille correcte des plantes, qui favorise le passage de l’air même entre les frondes internes. Les plantes cultivées en serre sont également sujettes à des attaques fréquentes, où l’environnement recréé peut être très favorable à ces insectes d’origine tropicale.
Symptômes de la plante
La présence de ces petits insectes blancselle doit être éradiquée car elle représente un danger pour la plante : tout d’abord, ces parasites se nourrissent de l’élément vital de la plante occupée et volent donc une nourriture précieuse pour la croissance et le développement des fleurs et des fruits. De plus, vivant sur les feuilles, les aleurodes produisent un liquide visqueux et sucré appelé miellat : il est nocif pour les plantes car, se déposant sur les feuilles, il empêche la bonne transpiration et le filtrage des rayons du soleil, qui se concentreront provoquant des blessures et brûle les feuilles. Comme on l’a vu, la présence d’aleurodes peut également provoquer des attaques par d’autres bactéries : le miellat est toujours responsable, attirant les champignons permettant leur développement. Ils vont alors recouvrir la feuille, provoquant une inhibition des processus liés à la photosynthèse de la chlorophylle.
Aleurodide : Lutte chimique et biologique
Ignorer la présence de ces parasites n’est donc pas possible et il est en effet nécessaire d’intervenir au plus tôt lorsque l’infestation est identifiée. Vous pouvez opter pour la lutte biologique, en vous appuyant sur des ennemis valables des aleurodes, tels que les hyménoptères parasitoïdes ou les myridés prédateurs. Cependant, ces insectes sont particulièrement efficaces à basse température et lorsque l’infestation n’est pas trop étendue et que la présence d’aleurodes est limitée. Sinon il faudra intervenir à la lutte chimique, en faisant attention à sélectionner des produits compatibles avec le type de culture à protéger. Il est en effet important d’identifier les bons produits chimiques qui peuvent annihiler la présence des aleurodes, pour éviter un nouveau cycle de reproduction, mais qu’en même temps ils sont capables de ne pas causer de dommages aux plantes cultivées. Le combat peut être difficile car les œufs, saupoudrés d’une couche cireuse, sont difficiles à éliminer, alors qu’avec le temps les nouvelles générations peuvent se montrer immunisées contre les pesticides les plus courants. Il est donc nécessaire d’éradiquer la colonie en peu de temps, avec des traitements spécifiques effectués sur de courtes périodes pendant une durée déterminée. La lutte biologique est plus efficace en serre ou en tout cas en milieu clos et protégé. avec des traitements spécifiques effectués sur de courtes périodes pendant une période de temps déterminée. La lutte biologique est plus efficace en serre ou en tout cas en milieu clos et protégé. avec des traitements spécifiques effectués sur de courtes périodes pendant une période de temps déterminée. La lutte biologique est plus efficace en serre ou en tout cas en milieu clos et protégé.