8 conseils pour une utilisation durable de l’eau dans le jardin et le jardin
L’ irrigation est l’un des travaux communs et habituels dans le jardin et dans le jardin. Faire une utilisation durable ou durable de l’eau est très important dans l’horticulture et le jardinage écologiques et pour cela, vous devez apprendre à gérer l’eau de manière efficace et tirer le meilleur parti de l’irrigation.
Si à l’époque nous vous avions déjà parlé du xéro-paysage comme option durable pour avoir un jardin à faibles besoins en eau, dans cet article nous souhaitons vous donner plus d’idées pour que vous puissiez avoir un potager ou un jardin qui ne gaspille pas l’une des ressources naturelles les plus précieuses : l’eau douce.
En plus de savoir dans cet article comment économiser l’eau en irrigation, je vous recommande de vous renseigner sur la collecte et le stockage des eaux de pluie , vous trouverez également d’autres lectures très intéressantes dans la rubrique agriculture biologique .
8 conseils pour une utilisation durable de l’eau dans les vergers et les jardins
1.- Concevez votre verger ou votre jardin en rassemblant en groupes les plantes qui ont les mêmes besoins en eau. C’est l’une des bases du xérojardinage et ainsi nous pouvons mieux utiliser l’eau. Nous pouvons diviser le verger ou le jardin en trois zones selon les besoins d’irrigation : une zone à faibles besoins, une zone à besoins moyens et une autre zone dans laquelle nous cultivons des plantes et des arbres avec des besoins en eau plus importants.
2.- Choisissez des variétés de plantes, qu’elles soient horticoles ou ornementales, qui nécessitent une faible consommation d’eau et évitez ou minimisez l’utilisation de celles qui nécessitent une plus grande irrigation. Si vous habitez dans des zones à précipitations faibles ou modérées, vous recherchez des espèces traditionnelles et indigènes déjà adaptées et ayant de faibles besoins en eau. Certaines de ces espèces sont même adaptées aux périodes de sécheresse, comme le romarin, la lavande ou la lavande, la sauge ou l’olivier. En revanche, il est conseillé d’éviter ou de réduire la culture de plantes qui nécessitent plus d’eau, comme l’herbe.
3.- Utilisez des tapisseries ou des plantes rampantes . Les plantes qui recouvrent ou recouvrent le sol aident à réduire les pertes d’eau par évaporation, maintiennent l’humidité du sol et sont aussi visuellement très utiles pour créer de très beaux espaces verts aussi bien dans les vergers que dans les jardins. Comme exemples de plantes d’ameublement, on peut citer la camomille romaine, le trèfle rouge, la capucine ou la verveine.
4.- Connaître le type de sol de culture. Selon le type de sol de notre jardin ou de notre jardin, il sera plus probable qu’il aura besoin de plus ou moins d’eau d’irrigation. Il existe des sols qui n’ont pas la capacité de retenir l’eau (sableux), tandis que d’autres types de sols empêchent ou réduisent les infiltrations d’eau (argileux).
5.- Quel est le meilleur système d’irrigation ? La façon la plus durable d’arroser notre verger ou notre jardin est d’ utiliser un système d’ irrigation goutte à goutte . Il est particulièrement adapté aux zones ou aux mois de l’année avec des températures élevées, car aucune eau n’est perdue par évaporation due à la chaleur. C’est la façon la plus durable d’utiliser l’eau à la fois dans le jardin et dans le jardin.
6.- Quel est le meilleur moment pour arroser ? Il est important d’éviter d’arroser pendant les heures les plus chaudes de la journée. La chaleur provoque l’évaporation de l’eau et elle est gaspillée. De préférence, nous arroserons en fin de journée, ainsi nous maximiserons l’utilisation de l’eau et de l’irrigation.
7.- Utiliser de manière stratégique les zones ombragées et les brise-vent de notre verger ou jardin. Le soleil direct est l’un des facteurs par lesquels le sol peut perdre de l’eau. Si nous plaçons les plantes dans des zones ombragées ou semi-ombragées, nous réduirons les pertes d’eau. Le vent est un autre facteur très courant qui augmente la perte d’humidité du sol. Nous pouvons profiter de brise-vents tels que murs, clôtures, etc. pour atténuer l’action du vent et on peut aussi recourir à d’autres éléments organiques comme des arbustes pour réaliser un jardin ou un potager à faible consommation d’eau.
8.- Une autre pratique très courante en agroécologie et en permaculture est le paillis. Ce qui est fait est de couvrir la surface du sol avec des matériaux naturels tels que pinasse, sciure de bois, écorce d’arbre, restes de taille, etc. dans le but de prévenir les pertes d’eau dues à l’évaporation, d’améliorer la fertilité et l’humidité du sol et de contrôler l’apparition de plantes indésirables ou adventices. En savoir plus sur le rembourrage .