Langues de la belle-mère
Langues de la belle-mère : informations générales
Langues de la belle-mère : description
Les langues de la belle-mèrece sont des spécimens succulents et ceux-ci doivent être traités. Malgré les lieux d’origine tropicaux, ils peuvent être cultivés dans des pots à l’intérieur de votre maison, en vous rappelant de suivre des pratiques de culture correctes dans le but d’avoir des spécimens toujours luxuriants et sains. La partie aérienne de cet épiphyte est constituée de feuilles succulentes, d’un vert vif et réunies pour former une sorte de ramification qui tend vers le bas avec le développement ; les bords sont très irréguliers. Au printemps et en été, des inflorescences très particulières de couleur rouge, orange ou carmin se développent au sommet de la dernière feuille verte. Selon les espèces que vous décidez de cultiver, vous pouvez voir des pousses très différentes d’un type à l’autre :
Langues de la belle-mère : la culture
Culture des langues de la belle-mèrec’est très simple, il suffit de faire attention à l’irrigation, à la fertilisation, à la conformation du terrain et de mettre en place des traitements préventifs pour conjurer les maladies ou les agressions des parasites végétaux et animaux. Les fécondations doivent avoir lieu dès le début de la formation des bourgeons et jusqu’au flétrissement. Il n’a besoin d’être taillé que pour éliminer les parties de la plante qui sont endommagées ou affectées par des maladies localisées dans de petites zones. Chaque fois que nécessaire, cette succulente est rempotée au printemps. La reproduction se fait par bouturage, le sol doit être composé de tourbe, de sable à gros grains et de sol feuillu ; de cette façon, un composé léger et drainant est créé qui est capable d’éviter l’apparition de la pourriture des racines. Enfin, en ce qui concerne les températures,
Langues de la belle-mère : maladies et reproduction
Malgré le soin apporté aux langues de la belle-mère, elles peuvent être attaquées par des parasites ou vous pouvez assister à l’apparition de maladies nuisibles aux succulentes. La pourriture des racines est l’un des premiers dangers ; s’il n’est pas attrapé à temps en contrôlant l’irrigation et le sol, l’épiphyte va à une mort certaine. Les acariens agissent au niveau du feuillage, se nourrissant de la sève et entraînant le dessèchement de la région aérienne. La moisissure grise produit une sorte de poudre grise, la cochenille recouvre la plante d’une sorte de substance cotonneuse et collante. Les deux sont éliminés manuellement à l’aide d’un coton-tige imbibé d’eau et d’alcool. Quant à la reproduction, elle se fait par bouturage. Pour couper la branche de la plante mère, il est nécessaire d’utiliser des outils désinfectés et bien affûtés. Une fois la bouture prélevée, elle est laissée à sécher pendant quelques heures et enfin enfouie dans de la tourbe, de la terre de feuilles et du sable.