Cotonéaster lacteus
Comment procéder à l’arrosage
Cultivation
Cette plante se multiplie aussi bien par bouturage semi-ligneux que par semis ; il est nécessaire de réaliser la plante dans un récipient plein de terreau universel et de tourbe, mélangé avec un peu de sable. Après quelques mois, la plante peut être transplantée dans un plus grand récipient, ou directement dans le jardin. Si vous souhaitez créer une haie, les spécimens cultivés doivent être plantés à une distance d’environ 80 centimètres les uns des autres. Le sol préconisé est bien drainé, afin d’éviter la stagnation d’eau redoutée ; périodiquement, il est conseillé de mélanger des résidus de paille et de feuilles sèches avec le sol, afin de le rendre plus fertile. La taille doit être effectuée à la fin du printemps, en utilisant des outils tranchants pour faire des coupes nettes et des coupes propres pour éviter les infections.
Fertilisation
La fertilisation doit être effectuée trois ou quatre fois par an, en utilisant un engrais granulaire à libération lente à enfouir dans la zone racinaire. Le produit doit être ternaire, c’est-à-dire riche en potassium, phosphore et azote, les trois macroéléments indispensables : ils ne doivent pas manquer à la plante, car leur carence entraîne inévitablement un développement lent et un état général de faiblesse. Le potassium, en effet, est essentiel à la synthèse des protéines et à l’absorption des sucres et de l’eau, le phosphore soutient le métabolisme et l’enracinement, l’azote aide à la croissance des parties végétatives et des tissus. Les microéléments tels que le magnésium, le manganèse, le zinc, le cuivre et le fer, qui à leur tour doivent être inclus dans l’engrais utilisé, sont également importants.
Cotoneaster lacteus : Exposition, maladies et parasites
L’exposition du Cotoneaster lacteus peut avoir lieu aussi bien dans des environnements ensoleillés que semi-ombragés ; il faut également garder à l’esprit que le mauvais temps et les vents intenses peuvent gravement endommager les fleurs et les feuilles de la plante. Parmi les maladies, on peut citer le feu bactérien, causé par la bactérie Erwinia amylovora, qui se manifeste par la formation de taches et de zones nécrotiques sur le feuillage et par le dessèchement des fleurs ; il n’existe actuellement aucun recours efficace, il est donc essentiel de prendre des mesures préventives telles qu’un contrôle périodique minutieux. Parmi les parasites, en revanche, il existe des pucerons, également appelés poux des plantes, qui se nourrissent de la sève en perforant les feuilles et provoquent la transmission de divers virus. Une solution appropriée est le macérat d’ortie.