Caractéristiques et culture de Faucaria tigrina
L’espèce Faucaria tigrina est une plante différente en raison de son apparence, quelque chose d’inhabituel, mais surtout parce qu’elle fleurit en novembre.
Ses feuilles sont triangulaires, très charnues et ressemblent à la gueule d’un tigre, d’un crocodile ou d’un requin.
Son apparence peut amener certaines personnes distraites à considérer la plante comme un chat, mais ce n’est pas le cas, elle appartient à la grande famille des Aizoaceae. Il est originaire d’Afrique du Sud, où il prospère dans les sols sablonneux et légèrement acides. Il se développe bien en plein soleil, avec un arrosage modéré.
La faucaria du tigre est une succulente connue sous le nom de mâchoire de tigre et de mâchoire de requin. Son aspect a un aspect très différent : il produit de grandes fleurs qui se distinguent par leur beauté. Vous voulez en savoir plus sur cette petite plante ? Suivez-le ci-dessous!
Comment cultiver le
tigre faucaria ?
La mâchoire du tigre est normalement cultivée dans des pots et pousse mieux dans un sol sablonneux et légèrement acide. Il pousse mieux en plein soleil ou avec un peu d’ombre. Il est nécessaire d’avoir un arrosage modéré, en faisant toujours attention à ne pas se mouiller ou manquer d’eau.
Quelle est la période de floraison du
tigre faucaria ?
La floraison a lieu en automne ou au début de l’hiver. Ses fleurs sont jaunes, grandes, voyantes et attirent de nombreuses abeilles. La fleur s’ouvre vers la fin de la matinée et reste ouverte jusqu’à la fin de la journée, se fermant pendant la nuit et, si le jour est nuageux ou si la succulente est à l’ombre, sa fleur peut ne pas s’ouvrir.
Comment se propage la
faucaria du tigre ?
Sa croissance est lente, mais pendant l’été elle s’est développée et en septembre la première fleur est apparue. Après cela est venu plus. Il est maintenant facile de trouver les bourgeons pour les prochaines fleurs.
La plante se reproduit par division de la touffe, ou par semis. Les similitudes entre toutes les espèces du genre Faucaria sont immenses.
Pas étonnant que même les experts aient du mal à les classer. Le nombre d’espèces reconnues a diminué, avec l’ajout de celles-ci.